Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle lors de la remise de la Grand Croix de la Légion d'honneur à Germaine Tillion. En arrière-plan, Anise Postel-Vinay.

En juin 1957, alors que la « bataille d'Alger » dure depuis cinq mois, David Rousset obtient de Guy Mollet une autorisation de visite des lieux de détention en Algérie. La Commission envoie en Algérie cinq personnes, dont Germaine Tillion et Louis Martin-Chauffier (qui ne doivent pas participer à la rédaction du rapport) et trois étrangers. La mission dure du 18 juin au 3 juillet.

Germaine Tillion, photographiée en 1935 en Algérie durant ses recherches ethnographiques au sein de la société des Chaouias.

Germaine Tillion et sa mère, Emilie, à Madiran, en juin 1940

Sil Ghazali est un des hôtes de Germaine Tillion, dans l'Aurès.

Carte de train de Germaine Tillion délivrée lors d'un voyage en Belgique en septembre-octobre 1929

 GermaineTillion chez elle à Saint Mandé avec sa chienne, Touisa, février 2003

Le 22 octobre 1942, Germaine Tillion est inculpée, par la Gestapo, pour cinq motifs : organisation de groupe de résistance, espionnage, évasion, hébergement d'agents alliés, assistance à des familles de déportés. Le 23 janvier 1943, elle adresse au tribunal allemand un rapport pour contredire l'acte d'accusation. [voir album joint]

"Le nouveau ministère formé par M. Chautemps a tenu son premier conseil ce matin à l'Hôtel Matignon : de droite à gauche M.M. Blum, Faure, Zay, Rucart et Brunet."

Eugène Chavant, dit Clément, pionnier et chef civil du Vercors à partir de l'automne 1943, puis président du Comité départemental de Libération de l'Isère, fait Compagnon de la Libération, sans date