Cette fiche constitue le premier élément du dossier pénitentiaire de Georges Dunoir ; elle a été établie lors de son arrivée à la maison centrale d'Eysses.

Extrait des minutes du greffe de la cour d'appel de Lyon mentionnant le jugement prononcé le 20 mai 1943 à l'encontre de Georges Dunoir.

Extrait du registre d'écrou de la maison d'arrêt de Lyon délivré le 15 octobre 1943 relatif à l'incarcération de Georges Dunoir dans cette prison. cet extrait a été établi au moment de son transfert à la maison centrale d'Eysses.

Photographie prise à la centrale d'Eysses fin 1943 - début 1944. Georges Dunoir se tient assis à gauche.

Premier numéro du journal clandestin Le coq enchaîné, mars 1942.

En 1944, un gardien du camp d’Allach (Bavière) ayant brisé d’un coup de poing les lunettes de Georges Dunoir, ses camarades lui en confectionnent une autre paire avec les débris récupérés.

Portrait d'Henri Chevalier, imprimeur lyonnais. Des presses de son atelier sort en décembre 1941 le premier numéro de Franc-Tireur. Franc-maçon et ami de Georges Dunoir, il rejoint les rangs du mouvement Le Coq enchaîné dont il devient membre du comité directeur. Déporté en avril 1944 à Mauthausen, il est affecté au Kommando de Melk, d’où il sera rapatrié en 1945.

Militant du parti radical-socialiste, Louis Pradel participe à la fin de l’année 1941 à la création du mouvement Le Coq enchaîné puis siège à son comité directeur. Se sentant menacé, il quitte Lyon en 1942, une ville dont il sera maire de 1957 à 1976.

Plaque de marbre apposée sur le monument aux morts de Monclar d'Agenais (Lot-et-Garonne) sur laquelle le nom de Jean Belloni, déclaré mort pour la France par décision du 11 avril 1949, a été ajouté en 2005.