Mediathèque

La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.

Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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"Aux fusillés et victimes de la Déportation 1939-1945", Montrouge (Hauts-de-Seine)

Stèle située dans la 36e division du cimetière de Montrouge (92) aux fusillés et victimes de la déportation 1939-1945.

© Collection Claude Richard  Droits réservés
Sépulture de quatre Espagnols fusillés le 20 juillet 1944

Sépulture de quatre Républicains espagnols fusillés le 20 juillet 1944 à proximité du lavoir communal de Nanteau-sur-Essonne. La tombe est située dans le cimetière de Nanteau-sur-Essonne, au pied de l'église.

© Collection Jean Fornage  Droits réservés
Plaques en hommage à R. Renard et D. Dussous

Plaques apposées sur la façade du 3 rue de la Solidarité à Montrouge (92). La première rend hommage à René Renard, "résistant déporté, mort pour la France le 26 juillet 1943 à l'âge de 57 ans". La seconde est dédiée à Denise Dussous, "morte pour la France le 26-6-45 à l'âge de 26 ans".

© Collection Claude Richard  Droits réservés
Plaque en hommage à Albert Margoline

Plaque apposée avenue de la Chesnaie à Combs-la-Ville en hommage à Albert Margoline, tué le 21 août 1944 par les Allemands. 

© Collection Jean Novosseloff  Droits réservés
Stèle dédiée à trois civils tués par les Allemands à Chapuis

Stèle, située en bordure de la départementale 40, dédiée à trois civils tués par les Allemands au château de Chapuis (hameau de la commune de Pamfou).

© Collection Jean Fornage  Droits réservés
Mosaïque en hommage à Fernand Bélino par Boris Taslitzky

La mosaïque a été dévoilée lors de la cérémonie de « baptême » du stade nautique le samedi 19 avril 1980 en présence de Gilbert Bonnemaison, maire d’Epinay-sur-Seine de 1967 à 1995. Il prit le nom de « Stade nautique Fernand Bélino ». La mosaïque fut exécutée par l’atelier Lazaretto d’après un dessin de Boris TASLITZKY (1911-2005), peintre réaliste socialiste et ami de déportation de Fernand Bélino. Elle rappelle qu’il aimait les arts, le travail, la vie et surtout la liberté.

© Archives municipales d'Epinay-sur-Seine  Droits réservés
Photo anthropométrique de Fernand Belino, Nexon, 29/11/1943

Ministère de l'intérieur, sureté nationale, photographie anthropométrique, CSS de Nexon, cliché n° 5695, Belino Albert, né le 30 janvier 1910 à Aubin, Aveyron.

© Archives nationales  Droits réservés
Inventaire des effets remis à F. Belino, maison centrale de Nîmes

Formulaire officiel dressant la liste des effets remis à Fernand Belino lors de son transfert de la prison militaire de Villefranche-de-Rouergue à la maison centrale de Nîmes le 4 décembre 1940.

© Archives départementales de Lot-et-Garonne  Droits réservés
Rejet de la demande de libération conditionnelle formulée par Belino

Courrier du directeur de l'administration pénitentiaire, Fernand Contencin, au directeur de la maison centrale de Nîmes, daté du 8 décembre 1942, l'informant du rejet le 30 septembre précédent de la demande de libération conditionnelle formulée par Fernand Belino. Ce dernier en est avisé le 12 octobre 1942.

© Archives départementales de Lot-et-Garonne  Droits réservés
Extrait d'écrou de la prison militaire de Villefranche-de-Rouergue

Suite à la condamnation prononcée par le tribunal militaire de Périgueux le 28 octobre 1940, Fernand Belino est incarcéré à la prison militaire de Villefranche-de-Rouergue (Aveyron) le 15 novembre 1940 (numéro d'écrou : 262). De là, il sera transféré à la maison centrale de Nîmes le 4 décembre 1940.

© Archives départementales de Lot-et-Garonne  Droits réservés