La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Journal numérique réalisé par des élèves d'une classe de première du lycée Yabné à Paris (13e arrondissement) dans le cadre du CNRD 2020-2021.
© Lycée Yabné à Paris Droits réservésTravail réalisé par les élèves d'une classe de CAP peinture du lycée Hector Guimard à Paris (19e arrondissement) dans le cadre du CNRD 2019-2020.
© Lycée Hector Guimard Droits réservésPodcast réalisé par les élèves d'une classe de troisième du collège de Rhuys à Sarzeau (Morbihan, académie de Rennes) dans le cadre du CNRD 2019-2020.
© Collège de Rhuys à Sarzeau Droits réservésStop motion réalisé par des élèves d'une classe de troisième du collège Solveig Anspach à Montreuil (Seine-Saint-Denis, académie de Créteil) dans le cadre du CNRD 2020-2021.
© Collège Solveig Anspach à Montreuil Droits réservésDevenu une figure de la Résistance juive, Jacques Lazarus entre dans la Résistance à Lyon en 1942. En janvier 1943, il rejoint l'Armée juive dont il devient l'un des principaux responsables de l'instruction militaire des jeunes recrues. En novembre 1943, il est l'un des fondateurs des maquis de l'Armée juive dans le Tarn. Chargé d'une nouvelle mission par l'Armée juive, devenue entre temps l'Organisation juive de Combat, il se rend à Paris où il est arrêté le 17 juillet 1944. Déporté le 17 août 1944 par le dernier convoi à quitter la gare de Bobigny, Jacques Lazarus s'évade du train avec plusieurs de ses camarades.
© Service historique de la Défense Droits réservésTract en yiddish émanant de la milice pariotique juive de Paris, 31 août 1944.
Il mentionne que 15 départements et de nombreuses villes ont été libérés par les FFI avant l'arrivée des Alliés et annonce la formation d'une milice de 100 volontaires qui prend le nom de Compagnie Rayman du nom du patriote fusillé en février 1944.
Samy Klein, Marc Haguenau, Edmond Fleg et Robert Gamzon à Beauvallon (Var) en avril 1941.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésPlaque apposée dans le hall principal de la gare Montparnasse face aux voies 19-20.
© Cliché Fabrice Bourrée Droits réservésCarte de membre du Service social des Jeunes de Denise Siekierski.
Membre actif de la Sixième, l'organisation clandestine mise en place par les Eclaireurs istaélites de France, Denise Siekierski rejoint en juillet 1943 à Marseille le Service André créé par Joseph Bass. Devenue son bras droit, elle rejoint le maquis juif du Chambon-sur-Lignon en qualité d’instructeur militaire au printemps 1944.