La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Combattant du bataillon Carmagnole des FTP-MOI depuis le début de l'année 1943, Fischel Pfeffer est arrêté le 10 mars 1944, condamné à mort et fusillé dans les fossés du fort de la Duchère.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésAncien combattant des Briages internationales en Espagne, Isidore Shernetsky intègre les FTP-MOI au mois de décembre 1942 et devient l’un des premiers cadres du bataillon Carmagnole avant de rejoindre Grenoble et de devenir commandant du bataillon Liberté.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésCombattant du bataillon FTP–MOI Carmagnole depuis l'été 1943, Maurice Gurfinkiel rejoint le bataillon Liberté à Grenoble où il devient chef de détachement. Il est tué dans des circonstances non éclaircies le 22 août 1944.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésAgent de liaison du mouvement en Combat depuis 1943, Jeannine Sontag rejoint les FTP-MOI de Carmagnole au printemps 1944. Arrêté le 3 juillet 1944 au cours d'une opération militaire, elle est assassinée le 20 août 1944 au Fort de Côte-Lorette à Saint-Genis-Laval.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésMembre de l'Union de la Jeunesse Juive (UJJ) puis de l'Union des Juifs pour la Résistance et l'Entraide (UJRE), Nathan Chapochnik rejoint les FTP-MOI au sein du bataillon Carmagnole. En septembre 1943, il est promu responsable militaire des FTP-MOI des Alpes-Maritimes puis instructeur de troupes de combats près de Marseille.
© Service historique de la Défense Droits réservésMembre de l'Union de la Jeunesse Juive à Lyon, Simon Fryd intègre les FTP-MOI où il devient rapidement chef de groupe. Arrêté le 29 mai 1943, il est guillotiné dans la cour de la prison Saint-Paul de Lyon le 4 décembre suivant.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésIgnaz Krakus, dit Roman, cadre du bataillon FTP-MOI Carmagnole, chef militaire du maquis de la Croix du Ban.
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésArticle extrait de La Dépêche du 3 mars 1944
© Bibliothèque nationale de France Droits réservésAprès quelques actions militantes à Grenoble, Edith Haithin rejoint en février 1943 la 35e Brigade FTP-MOI à Toulouse. Elle y intègre le service de renseignements. En septembre 1943, elle est nommée responsable aux effectifs pour la Haute-Garonne et le Tarn. En mai 1944, elle est envoyée dans la Meuse pour organiser et encadrer un maquis FTP-MOI composé de soldats soviétiques enrôlés de force dans l’armée allemande.
© Service historique de la Défense Droits réservés
Ancien volontaire des Brigades internationales, Sewek Michalak intègre le premier groupe de la 35e Brigade en formation. Dès février 1943, il est responsable technique interrégional de la 35e Brigade. Arrêté le 4 avril 1944, il est déporté à destination de Dachau le 3 juillet 1944 mais parvient à s'évader du train dans la nuit du 25 au 26 août 1944.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservés