Ancien volontaire des Brigades internationales, Meyer List rejoint l'OS-MOI à Paris à la fin de l'année 1941 puis devient membre du triangle de direction du Deuxième détachement FTP-MOI. En juin 1942, il prend la tête du détachement. Arrêté le 2 juillet 1943, condamné à mort, il est fusillé le 1er octobre 1943.

Ancien combattant des Brigades internationales, Sevek Kirszenbaum est à l'origine de la création du 2e détachement juif des FTP-MOI en 1942. Arrêté, déporté à Auschwitz, il y meurt en septembre 1943.

Léon Pakin, combattant des Brigades Internationales posant devant des barbelés dans un camp d'internement en France.

De retour à Paris après son évasion du camp de Gurs, Hersh Zimmerman rejoint Deuxième détachement des FTP-MOI. Il est chargé avec Salek Bot de la fabrication des explosifs. Le 25 avril 1942, les deux hommes sont tués par l'explosion de la bombe qu'ils manipulaient.

Militant des Jeunesses communistes, Salek Bot rejoint le Deuxième détachement des FTP-MOI au sein duquel il est chargé de la fabrication des explosifs. Il est tué accidentellement le 25 avril 1942 en manipulant une bombe.

Ancien combattant des Brigades internationales en Espagne, Samuel Zoltan s’engage dans la résistance communiste, d’abord au sein de l’Organisation spéciale (OS) puis, dès sa création, au sein du 1er détachement des FTP-MOI.

Ayant fui la Hongrie avec ses parents pour venir s’installer à Paris, Thomas Elek fut un militant très actif des organisations de jeunesse reconstituées dans la clandestinité par le PC avant de rejoindre en 1942 la lutte armée au sein des FTP-MOI et de participer à quelques-unes des actions de guérilla les plus spectaculaires organisées au cœur de Paris au cours du printemps et de l’été 1943.

Photographie anthropométrique de Boruch Lerner, Paris, 30 juin 1943

Communiqué du 1er détachement (1941-1943).

Membre du groupe de Marseille de l'UJRE, Armand Wasserman est mortellement blessé le 21 août 1944 lors des combats pour la libération de la cité phocéenne.