La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Benjamin "Nath" Taich, créateur de la section marseillaise de l'Union des Juifs pour la Résistance et l'Entraide (UJRE).
© Coll. Clément Taich Droits réservés
Ancien combattant des Brigades internationales, Maurice Igla devient en 1943 responsable des groupes de combat de l'UJRE à Grenoble.
© Service historique de la Défense Droits réservésMembre du groupe lyonnais de la section juive de la MOI depuis 1942, Albert Goldman rejoint l’UJRE à sa création en 1943 où il est chargé de former le premier groupe de combat à Lyon. En juin 1944, il est nommé responsable militaire de la zone Sud pour l'UJRE. Il prend part aux combats de la libération de Lyon.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésCharles Lederman en 1963 à Berlin lors du procès contre Hans Globke.
© Archives fédérales allemandes (Deutsches Bundesarchiv) Droits réservésMilitant des Jeunesses communistes, Charles Wolmark fut l’une des toutes premières recrues des Bataillons de la jeunesses en juillet 1941 et continua de participer à la lutte armée dans la région de Grenoble au sein de l'UJRE puis des FTP jusqu’à son arrestation fin juillet 1944.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésJeune militante communiste d’origine polonaise, Raymonde Royal participe activement à la reconstitution des Jeunesses communistes dans la clandestinité et organise dans son secteur du 10ème arrondissement la diffusion des tracts et de la presse du Parti avant d’être arrêtée et déportée à Auschwitz en 1942.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésImmigré polonais réfugié en France, Abraham Trzebucki participe aux activités clandestines du mouvement "Solidarité" en 1940. Arrêté le 27 mai 1941, il fait partie des militants communistes jugés de façon rétroactive par une juridiction d’exception mise en place par Vichy en août 1941, les sections spéciales.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésSophie Schwartz accompagnée d'une jeune fille, Larissa Wuzek, qu'elle réussit à cacher pendant la guerre.
Militante communiste très engagée dans les activités d’entraide à l’égard des femmes, Sophie Schwartz fut l’une des deux femmes ayant participé en septembre 1940 à la fondation du mouvement "Solidarité". Membre de la direction juive de la MOI en zone nord à partir de 1942, elle joue un rôle de premier plan dans la mobilisation des femmes contre l’occupant et le régime de Vichy et pour le sauvetage des enfants.
Ecrivain et rabbin polonais arrivé en France en 1934, Mounié Nadler fut l’un des principaux rédacteurs du journal de la section juive Naye Prese, qui reparait dans la clandestinité à partir de l’été 1940 sous le titre d’Unzer Wort. Arrêté le 30 avril 1942, il est fusillé quelques semaines plus tard comme otage au Mont Valérien.
© Archives de la Préfecture de Police de Paris Droits réservés