La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Plaque située rue Vaucanson à Lyon rappelant le dernier trajet de Jean Moulin avant son arrestation le 21 juin 1943.
© Cliché Mylène Babolat Droits réservésMilitant des Jeunesses communistes, membre des Bataillons de la Jeunesse en octobre 1941, Elie Wallach intègre le 2e détachement des FTP-MOI à sa création au printemps 1942. Arrêté, il est fusillé au Mont-Valérien le 27 juillet 1942.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésSimon Cukier parmi un groupe d'engagés volontaires au camp militaire de La Valbonne (Ain), 1939.
Militant communiste polonais arrivé en France au début des années 1930, Simon Cukier est très engagé avant la guerre dans les actions sociales et médicales développées à l’intention de la communauté juive, dirigeant notamment un dispensaire, « l’Aide médicale » pour apporter des soins à ses coreligionnaires. Membre fondateur de "Solidarité" en septembre 1940, il participe activement aux activités d’entraide de cette organisation qui sert de couverture pour la reconstitution dans la clandestinité de la section juive de la MOI avant de jouer un rôle important à partir du printemps 1941 au sein du Front national créé par le PC pour élargir son audience au sein de la société française.
Membre du triangle de direction de la section juive de la MOI sous l'Occupation, il est l'un des fondateurs de l'Organisation spéciale puis des FTP-MOI.
© Boris Holban, Testament, Calmann-Lévy, 1989 Droits réservésRédacteur en chef du quotidien Naïe Presse depuis 1934, membre de la direction centrale de la MOI depuis 1938, Louis Gronowski devient en 1939 membre du triangle de direction de la MOI devenue clandestine.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésDans les années 1930, Edouard Kovalsky est l'un des responsables de la section juive de la MOI. Chef d'un détachement FTP-MOI à Paris, il rejoint Lyon en 1943 où il devient responsable du MNCR avant d'être nommé en mai 1944 adjoint au commandant de l’état-major FTP-MOI pour la zone Sud.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésMembre de l'Armée juive, Thomas Bauer est chargé du journal clandestin Quand même. Le 22 juillet 1944, il est grièvement blessé par des miliciens à Toulouse et meurt des suites de ses blessures.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésDavid Knout et sa soeur à Tel Aviv en mars 1950. Jeune poète toulousain, auteur en 1940 du manifeste Que faire ?, David Knout est le co-fondateur de la Main Forte, organisation sioniste clandestine. En 1942, il fonde l'Armée juive avec Abraham Polonski et Aron Lublin.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésFondatrice avec son époux, David Knout, de l'organisation clandestine sioniste, la Main Forte, Ariane Knout devient membre du comité directeur de l'Armée juive en 1942. Le 22 juillet 1944, piégée par la milice au 11 rue de la Pomme à Toulouse, elle est abattue au cours d’un échange de tirs.
© wikimedia commons Libre de droitsLe 11 novembre 1940 à l'aube, Nordmann et Weil-Curiel réalisent une action d'éclat en déposant une gerbe de fleurs accompagnée d'une carte de visite au nom du général de Gaulle aux pieds de la statue de Clemenceau.
© Archives de la Préfecture de Police de Paris Droits réservés