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Le patriotisme et les compétences du juriste René Cassin font de son ralliement un atout majeur pour le général de Gaulle. Il devient le légiste de la France Libre et en rédige les textes fondateurs.
Photographie prise le 23 octobre 1941 au quartier général de la France Libre à Carlton Gardens à Londres.
Le ralliement à la France Libre du sous-marin Rubis est en grande partie l'œuvre de son commandant, le lieutenant de vaisseau Cabanier qui entraîne avec lui son bâtiment, son Etat-major et son équipage quasiment au complet le 10 juillet 1940.
© ECPA-D Droits réservésLe "stick Zermati" (du nom de son chef, le lieutenant Jacques Zermati) : Adrien Sebag - Robert Barkatz - Rémi Dreyfus - Norbert Benchemoul (Beyrard) - Dominque Franchishi - Roland Lombardo
© Archives privées Rémi Dreyfus Droits réservésAu 1er rang : Rémi Dreyfus (visage entouré sur la photo)
© Association du Souvenir des Cadets de la France Libre Droits réservésPhotographie d'identité de Rémi Dreyfus, avril 1942
© Service historique de la Défense Droits réservésA son arrivée à Lisbonne, Rémi Dreyfus rédige une note sur la radio de la France libre. Le 27 avril 1942, cette note est adressée au Service de l'information à Londres. Dans cette note, il insiste sur la nécessité de différencier les informations destinées à la zone occupée de celles destinées aux auditeurs de la zone libre, les préoccupations des uns et des autres étant fort différentes.
© Service historique de la Défense Droits réservésFormulaire rempli par Rémi Dreyfus à Lisbonne (Portugal) le 18 avril 1942. Il y précise vouloir rejoindre l'Angleterre pour s'engager dans une unité combattante des Forces françaises libres. Durant son périple, Rémi Dreyfus a utilisé la fausse identité de Roland Young en Espagne et de Rémi Lacoste au Portugal.
© Service historique de la Défense Droits réservésLors de son périple à travers l'Espagne, Rémi Dreyfus voyage sous la fausse identité de Roland Young, sujet britannique.
© Service historique de la Défense Droits réservésActe d'engagement de Rémi Dreyfus dans la France libre signé à Londres le 5 juin 1942
© Service historique de la Défense Droits réservés
Sous l'appellation de « F » puis de « F2 », l'entrée en action de ce réseau de renseignement franco-polonais est homologuée au 10 juillet 1940. C'est aussi la première organisation de résistance, dotée de ses propres moyens radio, à exercer son activité clandestine sur le sol français.
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