Mediathèque

La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.

Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Jeanne Bohec

Photographie d'identité de Jeanne Bohec. 

© Service historique de la Défense  Droits réservés
Louis Napoléon Franzini
© Service historique de la Défense  Droits réservés
Jacqueline de Guehegny

Jacqueline De Guehegny souscrit un engagement au sein des Forces françaises libres le 20 novembre 1940

© Service historique de la Défense  Droits réservés
Affiche trilingue annonçant le décret du 2 septembre 1940 pour la répression des actes de sabotages

Dans les territoires occupés, l’administration militaire allemande impose ses lois répressives. Rédigés d’abord en allemand, les avis et proclamations montrent la volonté de l’occupant de soumettre les populations. Toute forme de délit contre l’occupant est sévèrement réprimée.

© Musée de la Résistance de Bondues  Droits réservés
"Aux habitants des 5 communes de la boucle de la Seine", 8 octobre 1940

Note adressée aux habitants des villes de Montesson, Croissy, Le Vésinet, Carrières-sur-Seine et Chatou le 8 octobre 1940 à la suite de sabotages de véhicules allemands.

© Archives départementales des Yvelines  Droits réservés
Grange de la ferme de la Taye à Saint-Georges-sur-Eure

La grange de la ferme de la Taye où se trouvaient les corps des victimes d'un bombardement (aux environs de Chartres) et où fut enfermé et maltraité le préfet Jean Moulin qui refusait de signer une note attribuant ces morts à des soldats noirs français.

© Service historique de la Défense  Droits réservés
Vue extérieure de villa d'Olgiata où fut signé l'armistice franco-italien le 24 juin 1940

Photographie prise par les troupes françaises avançant vers le nord de l'Italie, après la prise de Rome en juin 1944.

© Service historique de la Défense  Droits réservés
Extraits censurés d'une lettre adressée par Rémi Dreyfus à son frère, novembre 1942

Le 25 octobre 1942, Rémi Dreyfus écrit une lettre à son frère Philippe, engagé dans la France libre et se trouvant à Nouméa. Il y relate son évasion de France, comment il a franchit la frontière et de quelles aides il a pu bénéficier. En raison des renseignements très précis qu'il donne sur son évasion et des noms mentionnés, des extraits de ce courrier ont été censurés et détruits pour des raisons évidentes de sécurité.

© Service historique de la Défense  Droits réservés
Fiche de renseignements établie à Londres le 27 mai 1942

Fiche signalétique remplie et signée par Rémi Dreyfus à Londresle 27 mai 1942. Il y est notamment fait mention de son arrivée à Greenock le 13 mai 1942 en provenance de Gibraltar. Il y précise vouloir être affecté à l'infanterie de l'Air (les parachutistes).

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Rapport de Rémi Dreyfus, Lisbonne, 18 avril 1942

Le 28 avril 1942, le service des FFL de Lisbonne adresse à Londres, au service recrutement, ralliement et accueil, un rapport de Rémi Dreyfus sur les difficultés rencontrées lors de son périple à travers l'Espagne et le Portugal et ses conseils et recommandations.

© Service historique de la Défense  Droits réservés