La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Membre de la Sixième, organisation clandestine des Eclaireurs israélites de France, Albert David Akerberg est chargé de la coordination des groupes de la Sixième et du Mouvement de Jeunesse sioniste (MJS) à Paris. Devenu responsable de l'organisation pour la zone Nord, il intègre en août 1944 le corps franc parisien de l'Armée juive au sein duquel il prend part aux combats de la Libération.
© Service historique de la Défense Droits réservésRecto : photographie extraite de l'Humanité du 5 octobre 1944 annonçant les obsèques de René Galais, dit capitaine Neuville, à Ivry-sur-Seine et détaillant le texte de sa citation à l'ordre de l'Armée.
Verso : Article complet
Photographie extraite de l'autobiographie de Boris Holban, Testament (Calman-Levy, 1989).
© Boris Holban, Testament, Paris, Calman-Levy, 1989 Droits réservésCompte-rendu manuscrit en yiddish sur la situation de l'organisation "Solidarité" en avril 1942.
Un exemplaire du journal Solidaritet [Solidarité] est présenté dans l'album joint à cette notice.
Lettre du maire de Saint-André-de-Lidon à madame Platek relative aux lieux de décès et d'inhumation de son fils Albert, 13 novembre 1944.
Militant au sein des organisations de la jeunesse juive mises en place dans la clandestinité par le PC au début de l’Occupation, Albert Platek rejoint en 1943 les maquis FTP du limousin et participe à la libération du Sud-Ouest, où il perd la vie sur le front de la Rochelle en septembre 1944.
L'Avant-garde est depuis le début des années 1920 le journal de la Fédération des Jeunesses communistes de France. Interdit en août 1939, le mensuel devient alors clandestin et sa parution, moins régulière, ne cesse pas.
© Bibliothèque nationale de France Droits réservésGroupe de jeunes gens à la Fête de l'Humanité, clairière de Garches (Hauts-de-Seine), septembre 1937.
De gauche à droite: assis Emile Ghertman. accroupie Gustava Puterflam. Debout deux filles inconnues, Maurice Feferman, une fille inconnue, Georges Ghertman. Le sixième à droite est Serge Morizet.
Fille de l’un des principaux responsables de la section juive de la MOI qui se reconstitue dans la clandestinité au cours de l’été 1940, Gustava Puterflam fut agent de liaison de l’organisation avant d’intégrer les FTP-MOI. Elle participa notamment à l’opération la plus retentissante qui aboutit à l’exécution en plein Paris de Julius von Ritter, le responsable du STO en France.
Certificat d'appartenance aux FFI délivré à Elias Dorn le 21 février 1951.
Juif polonais réfugié en France, militant syndical et communiste, Elie Dorn fut l’un des combattants des FTP-MOI de la région parisienne, participant aux opérations de guérilla développée en 1942 et 1943 dans la capitale contre les forces d’occupation, avant d’être muté dans l’Est puis le Nord de la France où il joua un rôle important d’organisation et exerça des fonctions d’encadrement au sein des états-majors FTP.
Rapport de gendarmerie sur les attentats commis dans la nuit du 8 au 9 mai 1943 dans plusieurs quartiers de Marseille contre des transformateurs.
© Archives départementales des Bouches-du-Rhône Droits réservésRapport de gendarmerie constatant l'assassinat du juge Verdun, ancien président de la section spéciale d'Aix-en-Provence
© Archives départementales des Bouches-du-Rhône Droits réservés