La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Ce modèle de brassard a été porté par les hommes du Corps-francs Pommiès avant la Libération. Vu l'absence de marquage de celui-ci, il n'est pas possible de le dater avec certitude.
© Collection Gilles Chapin Droits réservésCe brassard a été porté par le lieutenant Bleicher après la Libération. Il s'agit d'un authentique brassard parachuté par les Services Spéciaux d'Alger.
Au verso, le lieutenant Bleicher portant ce brassard (coll. Musée de la Résistance de Vassieux-en-Vercors, DR). Cette photographie a été prise à Romans dans les premiers jours de septembre 1944 juste après la Libération.
Plaque apposée sur la façade de la gare de Penne-D'agenais rappelant le départ en déportation de cet endroit de 1200 détenus résistants de la centrale d'Eysses.
© Collection Jacqueline Marvier Droits réservésPlaque apposée 60 rue de Gisors à Pontoise
© Association Mémoire et patrimoine militaire - ARHM Droits réservésPlaque apposée au 108 bis boulevard Jean Allemane à Argenteuil
© Association Mémoire et patrimoine militaire - ARHM Droits réservésAdhérent du Mouvement de jeunesse sioniste en novembre 1943, Jean Brauman rejoint le maquis de l’Espinassier au printemps 1944 et prête serment à l'Armée juive. Au 6 juin 1944, son maquis devient le peloton bleu-blanc du 4e escadron du Corps franc de la Montagne noire. Après l'attaque allemande du 20 juillet 1944, l'unité est dispersée et Jean brauman revient à Toulouse. Repéré, il est envoyé à Lyon où il intègre le corps-franc du CADJJ (Comité d'action et de défense de la jeunesse juive).
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésLe père de la jeune fille tient un relais de distribution d’essence, à Crest. Il n’a plus été approvisionné depuis de longs mois. Le 28 octobre, c’est la première livraison d’essence, soit près de 2 mois après la Libération.
© Collection Jeanne Sauvageon Droits réservés