Du 1er au 31 août 1944, Maurice Veillon rapporte sous forme de « notes d’histoire », les événements successifs qui aboutissent à la libération de Saint-Germain-en-Laye. A travers un récit chronologique, l’habitant de Saint-Germain livre dans son journal les événements militaires qui ont lieu autour de lui, mais aussi en France et à l’étranger.
Maurice Veillon fait part quotidiennement d’informations précises notamment sur les bombardements, les déplacements des généraux, les différentes alliances et l’avancée américaine jusqu’à la région parisienne…

Du 1er au 31 août 1944, Maurice Veillon rapporte sous forme de « notes d’histoire » les événements successifs qui aboutissent à la libération de la région Parisienne. La ville de Saint Germain en Laye est un bastion allemand, elle possède un rôle défensif majeur en cas de débarquement dès 1943. A travers un récit chronologique, l’habitant de Saint Germain décrit l’avancée des troupes américaines. Entre excitation et peur, la population subit les aléas de la guerre : privée de nourriture abondante, contrainte par des couvre-feux… La grande joie de la libération marque le début d’un nouveau commencent pour Maurice Veillon, pour tous les habitants de France. 

La Seconde Guerre mondiale peut être considérée comme une des conséquences de la Première Guerre mondiale. Elle est causée par Hitler qui, à la tête du NSDAP, arrive au poste de chancelier en Allemagne en 1933. Cependant, dès 1934 le régime bascule dans une dictature. Au cours de cette guerre, deux camps s’opposent dans une lutte acharnée : l’Axe et les Alliés. L’Axe étant composé de l’Allemagne, de l’Italie et du Japon. Au cours de cette terrible guerre, l’Allemagne nazie forçait les prisonniers à travailler dans les camps. Ainsi les usines d’armements nazies étaient massivement composées de prisonniers forcés de travailler pour le Reich.

Le film La liste de Schindler montre en image la vie de juifs prisonniers amenés de force dans les usines nazies pour travailler. En 1945, la guerre est presque achevée, les forces américaines, après le débarquement le 6 juin 1944 s’efforcent de reconquérir l’Europe. Cependant, l’abbé Pierre de Porcaro est pendant cette période à Dachau pour ses actions de résistance et ne sera pas délivré par les forces alliées du fait de sa mort prématurée.

La gare de triage d’Achères est un complexe important se situant dans la forêt de Saint Germain en Laye. Il est le seul axe ferroviaire desservant la section ouest de la France en particulier la Normandie et donc le mur de l’Atlantique. Lors de l’occupation allemande pendant la seconde guerre mondiale, les alliés ont cherché à détruire les installations de tout genre, des usines aux lignes de train, et ont été appuyés au sol par les réseaux de résistance, le tout coordonné par Londres.

Durant la seconde guerre mondiale, la ville du Pecq fut bombardée à de nombreuses reprises par les alliés en raison de son emplacement stratégique.

Suite à l'invasion de la Pologne par Hitler, la France déclare la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939. Débute alors la drôle de guerre. Les français adoptent une stratégie uniquement défensive. Le 10 mai 1940, l'Allemagne attaque la France, la Wehrmacht à St Germain en Laye le 14 juin 1940.

Saint Germain en Laye était une ville stratégique de par sa position géographique ainsi que par sa proximité avec la Seine durant la Seconde Guerre mondiale, d’où le désir d’Hitler d’en faire l’un de ses centres de commandement.

Ecole Saint-Erembert, 5 rue Salomon Reinach Saint Germain En Laye 78100. Saint Erembert est occupée par des sous-officiers allemands pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est pourquoi, l’école se répartit entre le 5 Rue Salomon Reinach, le 10 rue de Lorraine, dans l'orphelinat des sœurs Saint Vincent de Paul et le 2 rue de Lorraine dans la Maison de M. Kahn.

Créée par la loi d'organisation de la Nation en temps de guerre du 11 juillet 1938 - un an avant le début de la Seconde Guerre mondiale - , la défense passive consiste en la protection des populations en temps de guerre, notamment en réduisant les effets dévastateurs des bombardements en ville : les bombes les plus dangereuses, appelées « ELEKTRON » pesant un seul kg, dégageaient une chaleur de plus de 3 000 degrés et de nombreux gaz mortels. Dans la ville de Saint-Germain-en-Laye, la défense passive consistait particulièrement au renforcement des abris et des postes de secours, à la protection des combles avec du sable, au port du masque à gaz et à l’information des populations à tous les niveaux, en particulier dans les écoles.

Du 1er au 31 août 1944, Maurice Veillon rapporte sous forme de « notes d’histoire », les événements quotidiens de Saint Germain-en-Laye jusqu'à la libération. A travers un récit chronologique, l’habitant de Saint Germain décrit les restrictions quotidiennes auxquelles les populations sont contraintes. Mais, il nous livre également l'ambiance qu'il ressent et celle qu'il observe. Les populations semblent vivre une vie difficile, pleine de violence et de peur, ils attendent donc impatiemment que celle-ci prenne fin. 

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front Occidental.

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front occidental.

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front occidental.

Saint Germain en Laye était une ville stratégique de par sa position géographique ainsi que par sa proximité avec la Seine durant la Seconde Guerre mondiale, d’où le désir d’Hitler d’en faire l’un de ses centres de commandement.

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front Occidental.

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front Occidental.

On compte dans la commune de Saint-Germain plus de 20 000 habitants jusqu’au 11 mai 1940. Le 14 juin 1940, l’armée allemande débarque à Saint Germain, seulement 5 000 habitants sont restés sur les 20 000. Les soldats allemands prennent possession de la ville et réquisitionnent de nombreux bâtiments, notamment le pavillon Henri-IV. Ce dernier devient un quartier général allemand pour la zone occupée. De nombreuses décisions militaires allemandes pour la défense du front Ouest ont été prises dans ce pavillon. Saint-Germain-en-Laye devient ensuite le siège de l'Ob West, commandement des forces allemandes de la Hollande à Biarritz. De grandes décisions stratégiques sont prises au pavillon Henri IV, QG du front Ouest. Saint Germain possède plusieurs avantages : elle est proche de Paris mais facilement accessible ; elle est située sur une hauteur agréable à vivre avec sa terrasse, et sa forêt.

Résumé : Le comité de la Croix rouge de la région parisienne siège dans la ville de Saint-Germain-en-Laye pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est situé 5 rue de Breuvery. Les bénévoles travaillent à l’hôpital de Saint Germain-en-Laye et de Saint-Thomas au 15 rue des Louviers. Ils coopèrent aussi avec la défense passive.

Le lycée Jean-Baptiste POQUELIN est situé à Saint-Germain-en-Laye (72 rue Léon-Désoyer, 78100) dans le département des Yvelines. Sous l’occupation allemande, pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), la scolarité est bouleversée par de nombreux événements.

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front occidental.

L'armistice est signé le 22 juin 1940 à Rethondes, où avait été conclu auparavant celui du 11 novembre 1918. Durant l'été 1940, Saint-Germain-en-Laye, comme le reste de la France, est progressivement placé sous l'emprise de l'occupant allemand... Plus de 500 maisons et immeubles sont réquisitionnés, représentant près d'un quart du parc immobilier saint-germanois, ainsi que 276 logements chez les particuliers. De plus, la ville devient primordiale pour les Allemands: le maréchal Von Rundstedt y a en effet installé le quartier général de l’Oberbefehlshaber West, dit" Ob West", le centre de commandement des forces de la Wehrmacht sur le Front occidental.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, à l’instar de la Première, la ville de St-Germain-en-Laye est à nouveau occupée par l'armée allemande du 14 juin 1940 au 25 août 1944. Au début du mois de juin 1940, c'est l'exode qui vide littéralement la ville : le 15 juin, il ne restait plus que 5 000 habitants. Cependant, la plupart des exilés reviennent au cours de l'été. L'état-major du Grand Quartier général allemand pour la Zone Occupée s'installe au Pavillon Henri IV tandis que de nombreux autres services de l'armée d'occupation s'installent en ville. Mission confiée à son état-major par le colonel général Von Rundstedt : préparer l'opération Seeloewe, c'est-à-dire le débarquement allemand en Grande-Bretagne.
Saint-Germain-en-Laye devient ensuite le siège de l'Ob West, commandement des forces allemandes de la Norvège à Biarritz. De nombreux bunkers, en particulier des bunkers enterrés destinés au commandement et situés près de la rue Félicien-David, sont construits à partir de 1943 par des ouvriers réquisitionnés pour l'Organisation Todt.

Photos prises dans Saint-Germain-en-Laye, rue Félicien-David. Ceci est une partie du bunker qui abritait un des centres de communication allemand le plus moderne d’Europe à l’époque (durant la Seconde Guerre mondiale).

En 1942, la Seconde Guerre mondiale connait un renversement de situation remarquable : l'Axe, qui jusque-là menait des offensives victorieuses, se voit contre-attaquée par la Grande Alliance, et commence alors sa descente aux enfers. En effet, le rapport de force change, et les Alliés connaissent deux grandes victoires : Midway, où la flotte japonaise se voit détruite par l'amiral Nimitz, et El Alamein, où l'Afrika Korps de Rommel est stoppé par Montgomery en Egypte et doit battre en retraite jusqu'en Tunisie. En France, le régime de Vichy ne parvient pas à empêcher l'occupation de la zone Sud le 11 novembre 1942 et se voit donc discrédité, tandis que la résistance se renforce.

Le pavillon Henri IV fut un lieu de commandement durant l'Occupation. L'État-major allemand siège au pavillon Henri IV, Saint-Germain étant le siège de commandement allemand de la France occupée.

Sous l'Occupation, de nombreuses troupes allemandes devaient être logées à Saint-Germain-en-Laye. Durant la Seconde Guerre mondiale, 20 000 hommes étaient logés à Saint-Germain-en-Laye dont 3 000 officiers, alors que la population de l'époque atteignait les 23 000 habitants.

La population saint-germanoise entre résistance et soumission : La population est terrifiée. En effet, plus de 700 alertes aériennes sont données durant la période d'Occupation. S'organise alors la défense passive, qui consiste en la mise en place de sirènes et d'abris anti-bombardements.

La population saint-germanoise entre résistance et soumission.

Sous l'Occupation, de nombreuses troupes allemandes devaient être logées à Saint-Germain-en-Laye.

Le pavillon Henri IV fut un lieu de commandement durant l'occupation.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l'ensemble des déplacements des habitants de Saint Germain et des environs étaient surveillés, contrôlés et réglementés. Certains documents permettaient à certaines personnes de circuler plus facilement que l'ensemble des civils.

l'Etat-major allemand siège au pavillon Henri IV et commande les troupes allemandes sur plus de 5000 km de la Hollande à Biarritz, c'est le siège de l'Ob West. Saint-Germain-en-Laye étant le siège du commandement allemand de la France occupée, la ville est bien ravitaillée mais est la cible de bombardements : plus de 700 alertes durant la Seconde Guerre mondiale.

Cette plaque se situe au niveau de la place royale à Saint Germain en laye (78100), à la mémoire du général Leclerc dirigeant de la Deuxième division blindée.

52 Avenue Georges Clemenceau, 78110 Le Vésinet, France

L'esplanade du monument fait plus de 1 000 m2. Un mur de 150 m de long, en grès rose des Vosges, est accolé au rempart en meulière de la forteresse du mont Valérien.

Rue Louis Gandillet située à Carrières-sur–Seine dans les Yvelines.

Cette rue du Pecq (Yvelines), autrefois partie de la rue Carnot (aujourd'hui avenue Charles De Gaulle) commence boulevard Pierre Brossolette et finit rue de Paris.

Allée Claude Lamirault, Maisons-Laffitte