La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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À Marseille, dans la basilique du Sacré-Cœur, 81 avenue du Prado, une plaque commémorative porte l’inscription « Les Scouts de France de Marseille à leurs morts 1939 - 1945 » suivie de 58 noms. Les noms de deux fusillés de Signes sont repris : Guy Fabre, rajouté en bas de liste, et Maurice Favier
Cliché et légende : Pierre Ciantar - Tous droits réservés.
Dans le quartier de Saint-Barnabé (Marseille 12e), sur le Monument aux Morts et sous l’inscription « 1939-1945 », une plaque commémorative a été ajoutée, qui reprend les 18 noms - parmi eux, deux ont été fusillés à Signes : Jean Lestrade et Paul Kohler
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La voie dans laquelle le résistant résidait au numéro 3, ex-rue des Grâces, est devenue l’avenue Jean-Lestrade par délibération municipale du 19 juillet 1945
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Au col de Vignon, dans la commune de La Garde-Freinet (Var), sur la route départementale 74, une plaque a été apposée avec l’inscription suivante : « À la mémoire de son compagnon Muthular d’Errecalde (Lucas), officier américain arrêté le même jour [24 juillet 1944] à Saint-Tropez et massacré à ses côtés [à Signes] le 12 août 1944 - N’oublions pas » - la plaque est située sous celle rappelant la création du Maquis de la Mourre et rendant hommage à François Pelletier : « Résistance et Brigade des Maures. Le 6 juin 1944, sur ce sommet, dans une ferme voisine détruite à l’explosif par l’ennemi le 25 juillet 1944, le sous-lieutenant François Pelletier, officier parachuté d’Alger, arrêté à Saint-Tropez le 24 juillet 1944 et massacré à Signes (Var) le 12 août 1944, a créé le Maquis d’instruction de la Mourre pour que vivent la France et l’Humanité »
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Anciennement rue Cherchell, cette rue du 6e arrondissement de Marseille porte le nom de Jules Moulet par délibération du conseil municipal du 19 juillet 1945
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Une plaque commémorative a été apposée rue Jules-Moulet le 18 novembre 1945, qui indique : « Jules André Moulet, dit Bernard, né à Marseille le 9 juillet 1899, membre du Directoire clandestin des Mouvements Unis de la Résistance, chef départemental du N.A.P. , fusillé par la Gestapo le 18 juillet 1944 à Signes (Var) » - cette plaque est désormais installée dans le square Jules-Moulet, situé dans le haut de la rue Jules-Moulet
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Le nom de Jules Moulet a été donné à une avenue de Sausset-les-Pins, petite station balnéaire de la Côte Bleue, au nord-ouest de Marseille
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Sur le Monument départemental érigé à Manosque en hommage « aux martyrs de la Résistance des Basses-Alpes », le nom de Jean Piquemal est inscrit dans la longue liste des victimes de la répression classées par villes et villages, à l’emplacement dédié aux résistants de Manosque
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À l’entrée d'Oraison, une stèle en marbre a été érigée en hommage aux résistants arrêtés lors du piège dressé par les Allemands le 16 juillet 1944 - sur cette stèle figure l’inscription « 1944 - Aux résistants arrêtés à Oraison le 16 juillet - fusillés le 18 à Signes (Var) », suivie du nom des onze résistants, parmi lesquels celui de Jean Piquemal
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Dans la cour de l’Hôtel de Ville de Draguignan, à la base du mur sur lequel sont gravés les noms des morts de la Première Guerre mondiale, des plaques en marbre ont été scellées avec les noms des victimes de la Guerre 1939-1945 et des conflits plus récents. Parmi les 44 noms inscrits figure le nom de Jean Piquemal, pharmacien dans cette ville
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