La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Quartier Croix de Fer, à l’ouest de Bagnols-sur-Cèze, à environ 3 km sur la gauche de la D6, ou route d’Alès, un monument élevé en 1947 rappelle le sacrifice de Maurice Privat, FFI tombé sous les balles ennemies le 24 août 1944, à l’âge de 23 ans.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésSquare Joseph Thome, situé derrière l'église, au cœur du centre ancien, deux plaques énumèrent les noms de vingt victimes pour la période 1939-1945 : six militaires tombés en 1939-1940, un militaire décédé en 1942, trois engagés volontaires tombés en 1944-1945, un décédé en captivité, deux déportés disparus dans les bagnes nazis, trois S.T.O. disparus en Allemagne, trois résistants tombés en août 1944, un fusillé le 21 août 1944.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésSquare Robert Desnos, à l’angle du chemin de l’Ancyse et de l’avenue du Commando Vigan-Braquet, une stèle à la mémoire de général Georges VIGAN-BRAQUET et des volontaires du commando Vigan-Braquet.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésBAGNOLS SUR CEZE- Sur le mur de l’hôtel de ville, place Auguste Mallet, une plaque rappelle la jonction des forces du maquis des Ardennes avec la 1ère Armée commandée par le général de Lattre de Tassigny le 28 août 1944. Ce fut la première intégration d’une formation FFI à la Première Armée Française. La région de Bagnols-sur-Cèze fut le berceau du Corps franc des Ardennes, maquis ORA du GARD, créé par le chef de bataillon VIGAN-BRAQUET. Cette formation, après plusieurs engagements contre l’ennemi, devint le "Commando VIGAN BRAQUET ".
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésPrès du croisement des D.37 et D.16, deux stèles, érigées par les anciens des camps Bayeux et Beaumont, rappellent les combats des 23, 24 et 25 août 1944 entre des maquisards des 33e et 34e compagnies CFL et des colonnes allemandes en retraite.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésPlace de la Libération au coin de la rue Jean-Julien Trellys, une plaque rappelle l'arrestation en ce lieu, en juillet 1944, de Gabriel GUIRAUD, conseiller municipal d’Alès, et de Barthélémy RAMIER, membre du Comité central du PCF, torturés au Fort Vauban, ils furent ensuite précipités dans le Puits de Célas.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésDans la cour du commissariat de Police, une plaque à la mémoire de trois policiers résistants d’Alès : Henri LANOT, André CABANEL, arrêtés le 6 juillet 1944, emprisonnés au Fort Vauban, torturés, leurs corps furent retrouvés dans le Puits de Célas, et Amédée PRADILHE.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésSur le quai principal de la gare d'Alès, une plaque porte les douze noms de cheminots résistants dont Marcel Pantel, une des victimes du Puits de Célas.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésSur le mur de la Bourse du Travail, une plaque rend hommage aux Polonais tombés pour la libération de la France : combattants volontaires 1939-1940, résistants et maquisards de la région alésienne FTP-MOI, CFL, et réfugiés polonais arrêtés à Lasalle le 28 février 1944 et pendus à Nîmes le 2 mars 1944.
© Mémoire et Résistance dans le Gard Droits réservésRue Deparcieux, une plaque rend hommage à Henri Tauleigne, FTPF, exécuté par la Milice.
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