La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Au recto : Paul de Villelume, après-guerre
Au verso : les deux frères Victor et Paul de Villelume (à droite) en habits de saint-cyriens, 1913
© Aymeric de Villelume Droits réservésNote générale n° 4 : Numérotation des agents, 9 avril 1944
© Archives municipales de Tours Droits réservésPhotographie prise par un Allemand ayant assisté aux exécutions de 23 maquisards à Lantilly (Côte d'Or)
© Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Droits réservésDocument intitulé "Avis aux réseaux", 5 janvier 1944
© Archives municipales de Tours Droits réservésL'Histoire a surtout retenu le drame d'Oradour-sur-Glane mais le 10 juin 1944, la division Das Reich massacrait des dizaines de civils en Midi-Pyrénées, en représailles d'actes de résistance. Dans les secteurs de Marsoulas, on compte 32 victimes, et 57 vers Bagnères-de-Bigorre et Pouzac.
© Service historique de la Défense Droits réservésAu lendemain du massacre d'Oradour-sur-Glane où 642 personnes avaient été tuées, des secouristes de la Croix-Rouge française, originaires de Haute-Vienne, dirigés par le Chanoine Schneider, avaient mené dans des conditions effroyables, une mission particulièrement difficile : récupérer et identifier les corps des victimes lorsque cela était possible, leur donner une sépulture et rassembler les cendres de l'église.
© Collection Fabrice Bourrée Droits réservésAu recto : vue extérieure de l'église
Au verso : le maître-autel
On a parfois retrouvé après la guerre sur des soldats allemands des photographies d’arrestations, voire d’exécutions de résistants ou de civils. Mais tel n’a pas été le cas pour le massacre d’Oradour.
© Service historique de la Défense Droits réservés"Note générale n° 5", 21 novembre 1943 (sur les émoluments versés au personnel des réseaux)
© Archives municipales de Tours Droits réservés